PRENOMPRENOMNOM

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CARTE D'IDENTITÉ

NOM DE FAMILLE ♦ Humeno PRÉNOM(S) ♦ Gaïa AGE & DATE DE NAISSANCE ♦ 28/06/93 SIGNE ASTROLOGIQUE ♦ cancer LIEU DE NAISSANCE ♦ Icelande NATIONALITÉ ♦ Anglaise et Italienne SANG ♦ né moldu RACE ♦ Humain [sans magie]SITUATION ♦ célibataire PROFESSION ♦ Apprentit boulanger SIGNE(S) PARTICULIER(S) ♦ Ses cheveux verts, ses yeux entre le marron et l'or, les lanières noires et le tissu blanc qu'elles entoure. Se pationne pour la trompette et l'astronomie en plus d'aimer la pâtisserie. GROUPE SOUHAITER ♦ Habitant.CODE ♦ Respect & Harmonie & Union

CARACTERE DE VOTRE PERSONNAGE

Gaia Humeno, personnage s'intimidant facilement. Le plus petit compliment le mettra mal à l'aise mais il n'en montrera rien malgré son émotivité. Chaque changement quel qu'il soit lui fait peur, il pleur facilement que se soit sous le coups de la peur ou d'une émotion trop intense. La peur prime sur son existence depuis qu'il à six ans, sa plus grande peur, les vampires. Vivant dans la solitude depuis son enfance, il a prit l'habitude de s'isoler pour laisser libre court à ses émotions et épancher sa peine au travers de sa trompette. Cet objet étant l'un des plus précieux qu'il est, s'il venait à arriver quoi que se soit à cet instrument il en serait profondément blessé et aurait un mal énorme à pardonner et ne serait plus que l'ombre de lui même. Une ombre bien faible malheureusement puisqu'il n'est plus qu'un personnage au passé tragique et qui n'avance plus que de façon mécanique. Une chose cependant lui à permit de trouver une passion et un but, la pâtisserie. Une seconde activité qui fait son bonheur et lui permet aussi d'égayer la vie des gens avec les douceurs qu'il aime préparer. Il préfère rester loin des gens et de leur tentative pour le comprend et en savoir plus. La peur est une angoisse permanenta qui le dévore et nuit à ses tentatives pour se créer de nouveaux liens. En amour, il lui faudra du temps car au moindre dérapage il risque de se refermer entièrement et là, tout sera à recommencer. C'est un jeune homme sincère mais vraiment incertain et qui à peu confiance en lui. Si l'on prend le temps de le connaître, il se révélera être quelqu'un d'affectueux et de fidèle, s'il se donne à une personne se ne sera pas sur un coups de tête puisqu'il ne veux plus souffrir en son cœur. Des cauchemars hante souvent ses nuits, le laissant terrifié pour plusieurs jours. Malgré sa nouvelle vie il ne se sent pas lui même, il sait qu'il lui manque quelque chose d'important pour pouvoir se sentir enfin apaisé et voir disparaître ses tourments. Très croyant, il aime se tenir sur les bancs des églises, s'y sentant protégé et serein. Passé sa gêne, il rit facilement et est un peu espiègle parfois. Il n'est pas jaloux et n'ose pas faire le moindre commentaire, se contentant de s'effacer.

PHYSIQUE DE VOTRE PERSONNAGE

1 mètre 66 et 46 kilos, Gaïa n'est pas très grand. Il a des cheveux verts assez foncé et laissé long sur cinq ou dix centimètre ornant un visage fin et délicatement ciselé. D'étroits sourcils viennent surmonter un nez mince et tout aussi délicat tandis que deux yeux marrons au reflets dorés scrute le monde alentour avec crainte et une légère touche d'espoir. Ses yeux luisent d'innocence et de crainte, une crainte profondément ancré qui laisse parfois la place à un doux feu de joie et de vie ; ses lèvres sont fines et il . Sa peau est très légèrement pâle puisqu'elle ne rencontre pas souvent les doux rayons du soleil. Un cou délicat et sensible, l'ossature de son corps est aussi fragile que fine mais pourtant soutenu par des muscles fermes ressortant fièrement sous sa peau fine et légèrement nacré. Il ne possède que deux cicatrice dans le dos, d'une dizaine de centimètres et se trouvant sous ses côtes, elles sont les restes de son passé et, un rappelle plutôt douloureux pour le jeune homme. Sur ses omoplates, deux ailes d'ange son tatoué à l'ancre noir et ce depuis qu'il a fêté ses dix-huit ans. Son style vestimentaire se compose de débardeur plus ou moins moulant et de teintes claires, de jeans lâches que viennent resserrer des ceintures beiges. Le tout surmonté par de longues vestes sans manches de préférences et possédant de grand col dans des styles décontractés. Une chaînette au maillons métallique et au bout de laquelle pend une croix vient s'ajouter à cette panoplie qui n'entrave en rien ses mouvement. A son poignet gauche, un bandage maintenu serré par des liens noirs cache l'intérieur de son poignet et le cicatrices y étant présentent.

HISTOIRE DE VOTRE PERSONNAGE

Des chasseurs de vampires, voilà ce qu'était l'homme et le femme aux doigts agiles qui engendrèrent un magnifique bébé aux yeux couleur terre de son père. A sa naissance, il n'émit pas un son, se contentant d'observer les visages l'entourant, ceux de ses quatre grands-parent et ceux, enfantins, de ses cousins. Au lieux des pleurs qui auraient dû sortir, poussé par les petits poumons du poupon, ce fut un rire chantant qui s'en échappa, surprenant les infirmière et faisant sourire les parents comblé au plus haut point par ce cadeau béni. Dans cette famille, chaque membre était en quelque sorte différent des humains, il ne pleurait pas et avaient un faible pour tous ce qui se rapportait à l'art musicale et aux préparations culinaire en tout genre. La face plus sombre de l'iceberg cependant était qu'ils étaient une très ancienne famille de chasseur de vampire et qu'ils tuaient pour survivre mais aussi car un pacte millénaire les liaient à cette tâche harassante, fruit de l'inquiétude d'une famille de sorcier, les membres d'El Arabel, qui liait chaque descendant à leur protection, quel qu'en soit le prix.

Ce pacte fut fait il y a bien cinq cents ans et les seuls à s'en rappeler parfaitement son sans doute les vampires, du moins ceux qui ne furent pas les proies de ces chasseurs. Plongé dans les manigance des sorciers, il n'eurent d'autre choix que de leur servir d'arme. Un pacte mêlé par le sang des deux familles mais aussi par d'autres rites bien plus sombre. Enlèvement, sacrifice ; un sort liant obligatoirement magie et sang et empêchant les personnes ciblés à les protéger mais aussi les empêchant d'agir à leur encontre. Esclave de leur propre sang, les Humeno ont peut être oubliés ce pacte avec le temps cela n'en change pas moins le fait qu'ils sont liés à ce dernier et y répondent inconsciemment. Ce fut un enfant qui servit il y a bien longtemps à les unir, qui aurait crut que cette extrémité serait franchit aussi rapidement ? C'était sans compter l'avidité des mages qui pour une raison quelconque c'étaient attiré les foudres des castes immortels. La raison de cela resta à jamais et personne ne pouvait en chercher l'origine sans en subir les conséquences, il n'était donc pas rare de voir disparaître certain membre trop curieux de la famille de chasseur.

Leur vie est donc réduit à servir et à protéger les El Arabel sans restriction et quelle qu'en soit les conséquences.

Avec les siècles, les mage furent oubliés et aucun ne vint les voir, il n'y eut plus de contact et la vie reprit son cours tranquille, interrompue de temps à autre par l'apparition de buveur de sang hostile qu'ils se devaient de supprimer pour leur sécurité sans se rappeler ce qui avait put les attirer à eux, ni pourquoi leur agressivité se tournait vers eux.

Ainsi se déroula leur passé mais le présent, plus important mena donc à la naissance de ce petit garçon, cet ange au rire si doux et enchanteur. D'un commun accord il fut nommé Gaïa, un nom qui fut celui d'une ancienne déesse et qui lui seyait à merveille puisqu'il était d'un calme déconcertant et que ses crises de larmes n'étaient que passagères, laissant ensuite son sourire éclatant apparaître. Le bambin aimait vadrouiller et il apportait une nouvelle bouffée d'air et de bonheur à tout les membres de la famille, apportant un peu de douceur dans leur monde troublé de nombreuse menaces. Il était fils unique, une bénédiction et un cadeau des dieux pour Théodore et Elisa qui n'avaient pu et ne purent avoir d'autre enfant par la suite. Toute leur attention se concentra donc sur Gaïa qui passa trois années de sa vie dans un écrin de bonheur et de joie.

La propriété étant immense, elle se composait d'un imposant château de style ancien avec l'une des plus belle église de la région, une armurerie, une écurie et une imposante grange. Il n'était pas rare de voir une petite tête aux cheveux verts se faufiler entre les bâtiments ou courir dans la multitude de couloir de château. A cette période là, la bâtisse grouillait de vie et il ne se passait pas un jour sans que l'on entende le déclic d'une arme à feu bien que couvert par les rires et les cris des plus jeunes. Les destrier robustes, endurants et entraînés sur les lieux ne furent pas remplacés lorsque les véhicules à moteurs firent leur apparition, d'ailleurs un hangar fut construit pour accueillir quelques engins, plus pratique lorsqu'il devaient poursuivre un vampire par les routes mais en forêt, mieux valait un cheval au pied ferme et agile pouvant sa faufiler entre les arbres ou franchir des troncs.

A trois ans, Gaïa se cacher pour observer les adultes et les adolescents s'entraîner mais il abandonnait vite se position pour fier en cuisine, là il contemplait la batterie de marmiton dirigé par sa grand-mère, se plaisant surtout à voir comment les pâtisseries sucrés dont il raffolait étaient réalisé. S'il ne se trouvait pas en cuisine, inutile de le chercher bien loin, il suffisait de monter quelques étages jusqu'à entendre plusieurs mélodies et, en poussant chaque porte on finissait par le trouver allonger par terre, sa tête dans ses mains, à écouter une femme jouer. Les hommes jouaient aussi mais moins souvent. Lorsqu'il jouait avec les autres enfants de cette grande famille, dont la plupart appartenait au sexe féminin il n'était pas rare que les filles le kidnappe pour lui faire enfiler robes et autre. Au lieu de s'en vexer, Gaïa se prêtait à leur jeux s'en protester bien au contraire. Quand un adulte le trouvait ainsi par contre, les choses n'étaient pas les même et les enfant se faisait passer un savon pour bafouer la virilité des hommes. Étant très jeune, le bambin ne comprit pas la signification de cela aussi cacha-t-il cette partie de lui pour ne pas voir la déception et la tristesse sur le visage de ceux qu'il aimait.

Les choses se compliquèrent ensuite, certain membres de la famille disparurent sans que le gamin ne comprenne ce qui se passait et, lorsqu'il voulut en savoir plus, ces parents passèrent sur le sujet, se contentant de lui dire qu'ils étaient partis pour les protéger des dangers hors de leur domaine. A partir de ce moment là, les Humeno disparurent un à un sans qu'aucune nouvelle de parviennent au domaine. Gaïa bien qu'âgé de quatre ans se rendit dés lors dans la petite église et, sa croix en main, il s'agenouillait comme il avait vu les adultes le faire, tête basse, priant pour revoir ses proches revenir. Un soir, ses prière furent exhaussés, le sol trembla avant que les fers d'un cheval ne se fassent entendre mais lorsqu'il sortit, Gaïa se figea. Jordan, l'un de ses plus grands cousins avachit sur sa monture venait de passer l'ancien portail de la demeure. L'enfant poussa un cri de joie et courut vers lui, s'arrêtant au dernier moment en dérapant, comprenant enfin que quelque chose n'était pas normale. D'une voix un peu stridente, il appela ses parents qui accoururent dans la minute. Sa mère, sur ordre de son père vint le prendre contre elle, cachant le visage de son fils contre elle avant de l'emmener dans la maison, le mal avait était évité de peu, mais seulement pour le bambin car, pour le jeune Jordan, il était déjà trop tard. Sa mère, pour ramener un peu d'espoir à son fils lui avait dit que chaque étoile représentait une âme et que les étoiles filantes n'étaient rien d'autre que les esprit des morts s'envolant vers les cieux, ainsi, chaque être cher pouvait les observer depuis la voûte céleste.

Everglade, car tel était le nom du domaine, se vida ensuite rapidement, il ne resta qu'une poignet de femmes d'hommes et encore moins d'enfant. Pour Gaïa, ce fut une suite de période terrifiante, le petit garçon qu'il était alors ne riait plus que rarement, vivant dans la peur de voir quelque chose d'autre arriver.

A six ans, tout dérapa, ses parents avaient décidé de l’emmener au parc d'attraction, cela devait être le premier cadeau qu'il aurait avant le retour au bercail. Gaïa était donc surexcité et une fois dans la voiture, il avait pressé ses parents de se dépêcher. Ceux-ci avaient rit mais son père avait légèrement augmenter leur vitesse pour faire plaisir à son fils unique. Le ciel gris n'avait en rien entamé la joie du bambin qui fixait l'extérieur du véhicule en tentant d'apercevoir au loin les manèges et autres attractions annonçant leur arrivée prochaine. La pluie se mit à tomber, inondant la chaussé mais ils ne ralentirent pas. Ses parents voulait lui changer les idées alors pour quelques limitation dépassé, cela en valait la peine. Tout du moins jusqu'à ce qu'une forme sobre se jette sur la voiture. Sa mère lâcha un cri tandis que son père tournait violemment le volant, la voiture dévala la pente à leur gauche, fonçant parmi les arbres. Un choc violant et le noir totale.
A son réveil, Gaïa se trouva allongé hors du véhicule et quand ses sens voulurent bien fonctionner il perçut un chuintement et un bruit de déglutition qui lui glaça le sang. C'est en tournant la tête qu'il les vit, deux petits yeux rouge et menaçant perçant les ténèbres environnantes et brillant d'une lueur malveillante. Il voulut hurler en apercevant les corps près du vampire mais rien ne vint, il se contenta de regarder ce monstre approcher tel un prédateur. Ses mains glaciales saisir son cou et d'une torsion du pouce, il lui fit pencher la tête en arrière ses crocs effleurèrent son cou, sa langue passa sur son artère et seul l'odeur métallique du sang parvint à lui tirer une faible plainte. Puis, en lui et place de la mort qui aurait dû fondre sur lui, l'enfant chuta au sol. Les yeux grand ouverts, recroquevillé sur lui même il tremblait comme une feuille et bientôt, alors que des faisceaux de lumières l'éclairaient, il se releva sans souvenir ou du moins c'est ce qu'il fit croire aux couple qui le retrouva. Il avait enfouit son passé, si profondément traumatisé que seul la force ou un choc soudain pourrait venir à bout de ce blocage. Les gens qui le recueillirent eurent finalement sa garde puisque étrangement personne ne vint le chercher. L'homme, un pâtissier renommé du nom de Silvain, et sa femme, Isabella, accueillirent Gaïa comme le fils qu'il n'avait jamais eut et bientôt, l'enfant se créa inconsciemment une nouvelle identité, plus rien ne venant perturber cette nouvelle vie même si en réalité elle n'était pas réellement sienne. Une chose avait était retrouvé dans le coffre de la voiture, une trompette emballé dans un papier doré, cadeau d'anniversaire qu'il avait montré à sa mère des jours plus tôt. Il l’emmena avec lui dans sa nouvelle vie et ne laissa personne le toucher.

Par la suite, Gaïa fut envoyé à l'école et il étudia jusqu'à l'âge de quinze ans puis, une fois cette étape passé il ne poursuivit pas ses études, préférant se consacrer à sa passion et aider ses parents adoptifs avec la boutique tandis qu'il passé chaque soir à sa fenêtre à fixer les étoiles après avoir tenté de s'ouvrir les veines et avoir été secourut à temps.

QUI SE CACHE DERRIÈRE SON ÉCRAN ?

FT. Kazuki Hihara dans La corda d'oro, lui et seulement lui car je trouvais qu'il correspondait bien à ma pensé PRÉNOM / PSEUDO pour vous mettre sur la voie ça commence par un A vous savez pas ? tant pis. AGE On ne demande pas l'âge des gens voyons. AVIS GÉNÉRAL SUR LE FORUM rien à redire COMMENT AS TU ATTERRIT ICI ? on m'en a parlé. POURQUOI T'ES TU INSCRIT(E) ? l'envie, n'est-ce pas suffisant ?. POSTE VACANT OU PERSONNAGE INVENTE ? personnage inventé. NIVEAU DE RP 6/10.
EXEMPLE DE RP

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